Après la constitution, un cap pour la Belle Alliance Populaire

La Belle Alliance Populaire

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Samedi 3 décembre - Paris :
 
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Rétrospective

L’Assemblée nationale de La Belle Alliance Populaire du 2 juillet 2016 :

Retrouvez les différents débats de cet après-midi d’échanges démocrates, radicaux, écologistes, socialistes et citoyens !

 

Conférence de presse 4/06/16
 

Les 100 initiateurs de la Belle Alliance Populaire se sont réunis le 4 juin pour la première journée d’un séminaire rythmé par des discussions ouvertes et des débats ancrés dans la réalité.

Lors du débat « L’Etat de la société et de l’opinion » proposé par la Belle Alliance Populaire et animé par Jean-Daniel Levy, directeur du département Politique & Opinion chez Harris Interactive, et Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean Jaurès, plusieurs réflexions ont été avancées notamment autour de l’égalité des chances.

Une thématique qui est au coeur des volontés citoyennes, selon Gilles Finchelstein, « pour 71% des français une société juste c’est une société de l’égalité des chances ». Jean-Daniel Levy a ajouté « l’égalité reste importante pour la gauche et le centre. Les Français sont favorables à l’égalité mais sans tomber dans l’assistanat ».

Sur ce dernier point, Gilles Casanova, secrétaire général adjoint de l’UDE, a réagi : « la question que posent d’abord les électeurs du FN c’est l’égalité plus que l’identité […] Il n’y a pas d’avenir à gauche à abandonner l’égalité au nom de l’identité ». Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du Parti socialiste a précisé : « la tyrannie de l’identité est aujourd’hui très présente », « la situation est et sera volatile. La société peut se retourner très rapidement » s’est-il inquiété. Enfin, Julien Dray, secrétaire national en charge de la BAP, a conclu : « nous devons être en capacité de recréer un bloc dans la société capable de mettre en avant les progrès et l’optimisme ».

 

Vendredi 20 mai : La BAP a fixé son cap

 

Une centaine de signataires de l’appel pour la constitution d’une Belle Alliance Populaire se sont réunis à Paris pour la première séance de travail. Premier objectif : élaborer une charte progressiste de la BAP pour la convention programmée début décembre.

Un mois après son lancement, la Belle Alliance Populaire enclenche l’élaboration de son plan d’actions pour convaincre, fédérer et permettre à l’ensemble des citoyens, syndicalistes, responsables associatifs et politiques de la gauche progressiste et écologiste de faire émerger une vision de la France positive, humaine, solidaire et dynamique.

L’aboutissement du travail doit, dans un premier temps, se traduire par à une charte progressiste qui sera présentée en convention le 3 décembre. D’ici-là, des ateliers et séminaires seront organisés dans toute la France afin de faire remonter les propositions et idées qui alimenteront cette charte.

Un peu plus de cent signataires se sont réunis le 20 mai pour, comme l’a introduit Jean-Christophe Cambadélis, Premier secrétaire du PS, « s’organiser, se structurer, se construire afin de se déployer. »

Chacun a pu apporter sa contribution dans la méthode retenue sans langue de bois et avec beaucoup de lucidité. « Nous vivons dans un beau pays, a souligné Farid Echeikr, chef d’entreprise en Seine-Saint-Denis. Pourtant, nous n’arrivons pas à garder nos talents alors que nous avons la possibilité d’être plus offensif notamment sur le champ digital pour rendre notre société plus attractive pour nos jeunes. »

Pour Fadela Amara, militante féministe et haute fonctionnaire, « nous devons faire la démonstration de notre capacité à transcender. » L’enjeu réside en effet autant dans la possibilité des partis à se dépasser que dans celle des associations à porter des propositions concrètes et palpables pour les citoyens.

Se dépasser et proposer dans la lucidité

Les échanges ont porté autant sur le rôle de la BAP « notre propos n’est pas un propos de soutien, mais un propos de projection (dixit Gilles Casanova, secrétaire général de l’UDE) » que sur son ADN « nous devons aussi nous constituer sur l’envie de combattre l’ultra-libéralisme (Bastien Brunis, entrepreneur engagé). »

Les interventions ont pointé par exemple l’écart « entre le droit formel et le droit réellement appliqué » (Jean-Pierre Rosencweig, Haut magistrat), ou encore la mauvaise représentativité sociologique « comme facteur bloquant de notre ambition de transformation sociale » (Razzi Hammadi, PS).

Si « nous avons enfin cessé de nous diviser pour rassembler (France Gamerre, Génération écologie), il s’agit maintenant de « nourrir dès à présent et au fur et à mesure les éléments de contenu pour construite un point de vue progressiste commun » (Jean Grosset, PS).

Le prochain grand rendez-vous est fixé pour début juillet en vue de la préparation de la prochaine Université d’été programmée fin août à Nantes. « L’Université d’été du Parti socialiste devient naturellement l’Université de la Belle Alliance Populaire, a insisté Jean-Christophe Cambadélis, précisant : « non pas pour une prééminence socialiste de ce mouvement progressiste, mais bien pour dépasser les partis. » Emeric Brehier (Secrétaire national du PS en charge de l’Université d’été) a confirmé : « ce rendez-vous est abordé comme un lieu de formation collective pour aller à la bataille doté d’une consistance politique solide à gauche

Le cap est fixé pour « combattre le retour en force de la pensée magique de la droite » (Jean-Luc Sauron), « répondre aux défis qui vont bien au-delà de 2017 » (Isabelle This Saint Jean, PS) et « porter, comme sait le faire la gauche, les débats essentiels aux Français (Michel Suchod, UDE) ».

La BAP entre dans sa phase active et compte bien réaffirmer que la gauche sait  toujours construire, innover et proposer.


L'APPEL :


« Libres de construire ensemble »

La France est en effervescence. D’un côté, elle fait face à des défis immenses : économiques, sociaux, écologiques, sécuritaires, industriels, numériques et désormais politiques. De l’autre, la France doute d’elle-même. Nos concitoyens doutent des institutions, mais pire, ils perdent peu à peu confiance dans la promesse républicaine.

Dans notre pays, les valeurs de progrès et de solidarité, qui se répandaient tant bien que mal depuis deux siècles, sont en recul. Le repli sur soi, le rejet de l’autre pour ce qu’il pense ou ce qu’il croit, gangrènent notre République. Nous faisons face à un tournant régressif. Nous ne partons pas de rien comme l’a démontré le magnifique sursaut populaire républicain du 11 janvier.

Dans ce nouveau siècle, la raison a du mal à faire face aux pulsions et aux passions. Le monde regorge de haine et déborde de peur. La guerre est partout et donc ici. Et pendant que les hommes s’entretuent, la planète se meurt accentuant encore les inégalités et donc les menaces. Nous traversons un moment décisif.  Nous ne partons pas de rien : La réussite de la COP21, la détermination de la coalition mondiale contre le terrorisme, la solidarité exprimée pour maintenir le Grèce dans la zone euro démontrent qu’il y a un chemin.

Mutation écologique de notre développement, pérennité de notre modèle social, interpellations démocratiques, montée du nationalisme xénophobe, présence du terrorisme djihadiste : Il nous faut répondre à ces cinq défis majeurs.

Nous ne pouvons les aborder avec les idées d’hier, elles-mêmes forgées avec les concepts d’avant-hier. Nous devons tout repenser. Nous ne partons pas de rien : Partout dans la société, les Français innovent, agissent et réfléchissent. Le mouvement des idées progressistes ne demande qu’à être libéré.

Nous voulons un nouveau départ. Penser autrement ! Agir autrement ! Unir autrement ! Nous le devons à la France, rassemblée dans l’épreuve. Nous le devons à l’Europe, interpellée chaque jour.

Conscients de la gravité et de l’urgence de ces défis, épris de liberté, militants de l’égalité et partisans de la fraternité, nous en appelons à la constitution d’une grande alliance populaire démocratique, écologique et sociale.

Ce qui est essentiel nous est commun. De gauche, de centre gauche et écologistes, progressistes et républicains de toujours, européens de cœur et de raison, nous voulons nous lever contre ceux qui cherchent à enfermer l’avenir dans le regret du passé. Entre ceux qui veulent liquider notre modèle social et ceux qui ne veulent rien bouger, il y a la place pour une gauche fidèle à ses valeurs et progressiste. 

Lucides et ambitieux, nous nous engageons avec confiance dans ce rassemblement pour notre pays, notre jeunesse et les générations à venir. Nous sommes tournés vers l’action. Notre ambition : donner à la France son nouvel équilibre social, écologique et politique. Nous voulons bâtir une France Nouvelle.

Cette alliance n’est pas un parti politique, mais elle est une convergence politique. Elle prend les idées au sérieux et – si elle veut participer à la formation des représentations collectives – elle ne perd pas de vue l’enjeu de la représentation politique. Nous voulons bâtir une nouvelle forme de mobilisation citoyenne.

Pour nous, l’enjeu de la citoyenneté est clé. Elle permettra de répondre à la question de l’identité qui a éclipsé celle de l’égalité dans le débat public. Nous défendons une citoyenneté complète, riche de toutes ses dimensions : culturelle, politique, économique et sociale. Nous savons que les 12 millions de bénévoles associatifs qui se mettent chaque jour au service des autres sont une source de fierté et aussi d’inspiration, pour permettre l’engagement citoyen de demain et pour penser les nouvelles formes d’organisation politique dont notre pays a besoin.

Nous soutenons le projet d’une France unie et indivisible, au service de tous les siens, une France tournée vers l’avenir, qui ne démantèle pas son modèle social mais le rend efficace, une France laïque. Nous militons pour un renouveau européen, fait de progrès et de justice sociale, de cohérence et de solidarité. Nous voulons bâtir une société mobilisée  par et pour le progrès et la liberté.

C’est cette vision qui nous a conduits à soutenir l’action du Président de la République et ses gouvernements successifs, depuis 2012. Le redressement de la France était un impératif catégorique. Il a pesé sur les politiques publiques limitant les marges de manœuvre de la gauche. Pour autant on ne saurait passer sous silence ce qui a constitué de grandes avancées : mariage pour tous, sécurité sociale universelle, compte pénibilité, baisse des impôts, transition énergétique ou encore l’investissement prioritaire dans l’éducation. Nous voulons, après le redressement, ouvrir un nouveau cycle en répondant aux défis de l’Europe, de la réindustrialisation, des nouvelles solidarités, de la révolution de l’immatériel.

De son côté, la droite, qui rêve de tout défaire, prépare le programme le plus libéral depuis 1945. Quant à l’extrême droite, parti de la peur et de la catastrophe nationale, elle rêve de séparer les Français et défend un projet destructeur, régressif et réactionnaire.

Attachés à la laïcité, qui permet à chacun de croire ou de ne pas croire, nous voulons donner la réplique intellectuelle et politique au bloc réactionnaire et à tous les entrepreneurs identitaires. Là où ils perçoivent un futur sombre et apocalyptique sur lequel ils prospèrent, nous croyons aux Lumières. Là où ils tracent des frontières entre Français de « souche » et de « papier », entre « croyants » et «mécréants», nous allons bâtir du « commun ».

Conscients des menaces que font porter le dérèglement climatique et la crise écologique sur notre environnement, notre santé et la paix dans le monde, nous affirmons qu’un nouveau mode de développement doit émerger, s’appuyant sur les énergies d’avenir et l’économie de ressources naturelles, diminuant les risques tout en créant des emplois et redonnant du pouvoir d’achat.

Attachés à la défense de la République, nous devons regarder la réalité en face. Certains cercles économiques dirigeants ne sont pas les premiers supporters de la gauche, car elle défend la réforme du modèle social qu’ils voudraient liquider. L’objectif des prochaines élections présidentielles est, pour l’oligarchie, un paysage politique structuré autour du Front national et du parti Les Républicains, un paysage débarrassé d’une gauche réduite à la protestation et au soutien de la droite contre le Front national.

Nous en sommes certains, sans une gauche dynamique, forte de son unité, fière de ses valeurs et porteuse d’une société décente, le Front national finira par l’emporter car une partie de la droite a abdiqué dans le combat contre l’extrême droite.

Les partisans de la haine veulent nous faire taire et nous faire peur. Ils veulent nous enfermer dans leurs clichés et leurs préjugés. Nous allons briser leurs fers identitaires et faire éclater leur assurance. Nous sommes debout et nous sommes bien plus nombreux et plus déterminés qu’eux. Nous sommes la Belle Alliance Populaire.

Acteurs de cette alliance, nous nous reconnaissons dans les 13 thèses suivantes :

1. La transition écologique est non seulement indispensable mais aussi une opportunité

Il nous revient de prévenir l’irréparable en prolongeant les acquis de la COP21 et en mettant en œuvre une révolution sociale et écologique mondiale.

2. Une véritable déconstruction européenne est à l’œuvre

Il est temps de politiser l’Europe, qui est notre horizon indispensable, et donc d’engager une politique des grands pas, aux niveaux diplomatique, social, écologique et industriel.

3. Notre communauté nationale est en proie au poison de la division

Il faut sortir nos concitoyens de la crispation identitaire et de l’enclavement communautaire. 
Il faut restaurer la France solidaire et réaffirmer la bataille pour l’égalité.

4. Le nationalisme xénophobe et le fondamentalisme religieux sont des déclinismes

Ils sont des symptômes mais ils ne sont en rien des solutions aux problèmes de notre temps et n’apporteront pas la régulation social-écologique et politique dont la mondialisation a tant besoin.

5. Il n’y a pas de suicide français, il y a un gâchis français.

Nous voulons mettre un terme au pessimisme ambiant, à l’étouffement des talents et à l’essoufflement de la méritocratie.

6. La modernisation économique et industrielle de notre pays est le meilleur moyen pour parfaire notre modèle social

Contre le laisser-faire, le laisser-aller n’est pas une option.

7. Le bloc réactionnaire dit vouloir plus de nation mais veut moins d’état, donc plus de marché

Les conservateurs et les xénophobes sont les serviteurs de l’oligarchie ultralibérale, qui se satisfait d’un peuple ultradivisé, atomisé, sans volonté.

8. Quand les forces de gauche et écologistes sont ensemble, elles sont en tête

La gauche ne peut pas être la gauche si elle n’est pas unie. Sans unité, nos valeurs sont sans avenir. La priorité aujourd’hui c’est le rassemblement. C’est le sens de notre alliance.

9. La République est le cœur de la France

Il faut une force progressiste pour la défendre, une force qui lutte contre l’exclusion et les précarités, pour plus d’égalité et de solidarité, pour une France républicaine jusqu’au bout.

10. La défense du vivre ensemble est d’intérêt général

La préférence nationale et la préférence religieuse mettent en danger les fondements, les valeurs et l’avenir de notre société. Nous croyons à la coexistence des différences, dans le creuset républicain.

11. Pour répondre à la désespérance démocratique, nous voulons ré-oxygéner nos institutions

En améliorant leur représentativité et donc leur légitimité. En reprenant le débat de la proportionnelle et en promouvant des mécanismes participatifs.

12. Le dialogue social est le moteur du changement

Nous avons la volonté d’organiser à tous les niveaux un dialogue social loyal avec l’ensemble des partenaires sociaux.

13. Pour prendre un nouveau virage, nous avons besoin de nouveaux visages

Il faut rajeunir et rafraîchir. Notre alliance sera donc un lieu ouvert, où la parole est libre.

Les premiers signataires

ABBOU Jamila, AIT Eddie, AIT-ALI-BOUCH Mohamed, AIT-KEDDACHE Audrey, AMARA Fadela, AMBLARD Jean-Baptiste, AMERI Driss, ARACIL Patrick, AUDIN Nathalie, AUGIER Florence, AUTIN Vincent, AZZI Elhadhi, BACHELAY Guillaume, BADUFLE Claudine, BARADJI Massira , BARANDA Violette, BARTOLONE Claude , BAUPIN Denis, BENNAHMIAS Jean-Luc, BENNOUKH Fatima, BENRUBI Alain, BERGER Karine, BERTHE Sidy, BETTENCOURT Rui,BLANCHARD Constance, BLANCHET Julien, BLEE Laure, BOENS Sylviane, BOISTARD Pascale , BONTEMS Jacky, BORELLO Jean-Marc, BORY Jacques, BOTOYA Alexis, BOUCHAUD Emmanuelle, BOUCHET Pierre-Etienne, BOULAY Antoine, BOUTSCHICHE Anissa, BRIAND Laurent, BRIAND Cassandra, BROS Jean-Bernard, BROUSSARD Sylvain, BRUN Philippe, BRUNET-LECHENAULT Claudette, BRUNIS Bastien, BUOR Sopheap, CAMBADELIS Jean-Christophe, CASANOVA Gilles, CHATELAIN Emmanuel, COGOS Léo, COLLIN Philippe, COMMANDEUR Pierre, CONDEMINE Anne Sophie, COSSE Emmanuelle, COTTE Bernard, CROTTE Joël, CUIP Mathieu, DAFF Nadia, DANIEL Jean, DE GENTILLI Emmanuelle, DE ROUX Philippe, DE RUGY François, DEBATISSE Mathieu, DEBOUT Michel, DEDEBAT Nicole, DELPECH Pauline, DELZART Lucie, DEVARRIEUX Benoit, DHAILLE Paul, DJAOUT  Yanis, DOS SANTOS Remy, DRAY Julien, DUARTE Antonio, DUBIE Janine, DUHAMEL Benjamin, DUPUIS Christine, ECHEIKR Farid, FAUVET Anne-Marie, FERRARI Jacqueline, FINCHELSTEIN Gilles, FLEURY Marcel, FLEURY Annie, FLOCCARI Stéphane, FORTIER Mélanie, FRANJOU Jacqueline, GACHET Thomas, GAMERRE France, GATIGNON Stéphane , GIORDANO Alain, GIORDANO Angelo, GOY Sophie, GRASSET Eric, GREGOIRE Emmanuel, GROSSET Jean, GUIGO Pierre-Emmanuel, GUILLAUME Didier, GUY Florence, HALLAL Rachid, HAMMOU Mohamed, HAVRIN Jean-Pierre, HEYMAN François, HOUACINE Mina, HUWART Harold, JAMET Marc-Antoine, JAOUEN Nicolas, JOSEPH Jean-Louis, JOUZEL Jean, JUILLARD Alexis, KAMMERER Bernard, KETTANE Nacer, KHAN Rachel, LACROIX Guillaume, LAKHDAR-GHAZAL Faouzi, LAMBERT François-Michel, LASNIER Yann, LE CAM Brigitte, LE MOING Yannick, LE ROUX Bruno, LECHATELLIER Laure, LECOUSTRE Arlette, LECOUSTRE Robert, LEMERCIER Jacques, LEMOINE Dominique, LEVEQUE Dominique, LEVY Hugo, LOCORRE Joseph, LOPEZ Gérard, LUREL Victorin, MADROLLE Christophe, MAJESTE Manon, MARCIANO Laurent, MARMIN Valérie, MAURIN André, MBAYE Jean-François, MEGNIN Jean-Marc, MEUNIER Alain, MEYER Jérôme, MIALLOT Anne-Claire, MOLINOZ Patrick, MORIN Zakia, MURET Arnaud, NARASSIGUIN Corinne, NAUD Frédéric, NOUGOUA Ariane, OBERT Patrice, ODOU Grégoire, OLIVE Alain, OUJEBOUR Mohamed, PERREIRA-HAMOS Jean-Pierre, PERREIRA-LEMAITRE Alada, PETIOT Jean-Paul, PETIT Catherine, PIETRASANTA Yves, PIGENEL Romain, PINEL Sylvia, PIQUEMAL Michel, PLACE Jean-Vincent, PONT Françis, PORCHER Simon, QUINQUETON Denis, REBSAMEN François, RENDA Sandra, RENSON Hugues, RIHAI Karine, RIPERT Danielle, ROMAN Petre, ROSENCZVEIG Jean-Pierre, ROSSIGNOL Christophe, ROZIERE Virginie, SAINT ANDRE Stéphane, SAULIERE Gilles, SAURON Jean-Luc, SCHIAPPA BRUGUIERE Marlène, SCHWARTZENBERG Roger-Gérard, SEBBAH Brigitte, SEGRETAIN Philippe, SEGUILLA Jacques, SOBOL Hagay, STRAZEL Marie, SUCHOD Michel, SYLLA Fodé, SYLVESTRE Guillaume, TANGUY  Jean-Pierre, TEBOUL  Bruno, TEISSIER DU CROS André, TEMAL Rachid , TERMOLLE Marcelle, THIS SAINT JEAN Isabelle, THOMAS Samuel, TIRERA Slimane, VACHEZ David, VILLEMOT Dominique, VILLENEUVE Michel, VUILLETET Guillaume, WASSERMAN Simon, YANA Pierre, ZAGHAR Youssef, ZAGHAR Khalid, ZANA-VICTOR Jacqueline, ZENNOU Maxime, ZGHIR Dinah, ZILBERG Bruno, ZILBERG Arlette

 
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