Que le Président se rassure, nous ne croyons pas au Père Noël. Il paraît que c’est l’une de ses grandes craintes. Mais nous ne croyons pas non plus à la flatterie.
Nous voulons des engagements clairs : respecter la libre administration, garantir les moyens, améliorer la péréquation, alléger les normes et les contraintes. C’est sur ces bases qu’un dialogue fructueux peut s’engager.
Mais sans avancée majeure, à mon sens, aucun pacte n’est possible. Ce serait une occasion ratée et nous serions conduits à considérer avec Tocqueville qu’il « est des résistances honnêtes et des rébellions légitimes ».